Propositions de modifications des règles de classe AG 2021


Avec avis favorable de la CoTec

Les avis de la CoTec ont été votés à l’unanimité des membres sauf mention en bas de proposition.

Proposition n°1

Proposition :
C.5.1-b-3 – Une pagaie avec une partie aquatique efficace de longueur mini 250mm et largeur mini 120mm.

Texte actuel
C.5.1-b-3 Une pagaie longueur minimale 700 mm, avec une pelle de longueur mini 250 mm et de largeur mini 120 mm.

Explications :
En modifiant le texte on peut continuer à utiliser une pagaie avec un manche mais aussi celle que les barreurs d’Optimist qui permet un usage avec une seule main.

Elle peut également se ranger facilement sur le couvre gueuse.

Proposition n°2

Proposition :
D.2.3 -b Dans le pont, seuls sont autorisés les trous : pour les passages des commandes des barbers de foc et du pataras, pour la sortie d’eau de la pompe de cale, et l’ouverture pour la trappe de visite du palonnier de mèche du gouvernail. La zone du pont formant le tableau AR pourra y être maintenue ouverte, ou bien fermée, ou bien re-percée pour en permettre l’évacuation de l’eau de la pompe ou celle accumulée dans la coursive.


C.5.2 OPTIONNEL
a) UTILISABLE EN COURSE
(4) Une pompe de cale manuelle et/ou électrique (avec batterie sèche).


D 9 1 Accastillage
(b) Optionel
(14) Pompe de cale manuelle et / ou électrique : voir C.5.2 et D 2 3 b.

Texte actuel
D.2.3 -b Dans le pont, seuls sont autorisés les trous pour les passages des commandes des barbers de foc et du pataras et pour la trappe étanche de visite de la mèche du gouvernail.

C.5.2 OPTIONNEL
a) UTILISABLE EN COURSE
(4) Une pompe de cale manuelle et/ou électrique (avec batterie sèche), avec refoulement sur le pont AV en avant de l’hiloire ou sur le pont AR ou dans le tableau AR.


D 9 1 Accastillage
(b) Optionel
(14) Pompe de cale manuelle et / ou électrique (avec refoulement sur le
pont AV ou AR) : voir C.5.2.

Explications
Le tuyau d’évacuation de la pompe de cale sort souvent au gré des bateaux devant ou sur un côté du rebord du cockpit ou dans le tableau arrière, on laisse libre le trou de sortie dans le pont. La modification du premier article entraîne les mises à jour des deux autres articles.

Proposition n°3


Proposition :
D.9.1.(b)(18) Une deuxième cadène AV, située en avant de celle de point d’amure du foc, pourra être installée. Elle sera exclusivement réservée à l’amarrage et l’accroche de bouts (ou câbles) non utilisés et non utilisables en course.


Texte actuel
Néant

Explications
Equipement optionnel à réaliser par le propriétaire s’il le désire.
Permettre de débarrasser la cadène de foc du bout de remorquage et si le foc n’est pas endraillé sur l’étai, de l’étai de retenue de mât ainsi que de son éventuel élastique permettant de rattraper le mou de celui-ci.
A l’amarrage la présence de deux cadènes répartit les efforts et facilitera la vision par les juges du bon usage exclusif de la cadène de navigation équipée de l’étai de foc et du cunningham de foc.
Il est bon de vérifier qu’un appui large est réalisé car souvent il n’y a que deux petites rondelles que ce soit pour une ou deux cadènes.

Unanimité des membres mais Guy Lassalle ne voit pas comment contrôler.

Proposition n°4


Proposition :
5) D.9.2 DIMENSIONS..
. La ligne de base doit être située dans le plan de symétrie longitudinal de la coque aux distances verticales suivantes :
Au point de référence de la coque comme défini en D.2.4.

Texte actuel
5) D.9.2 DIMENSIONS..
. La ligne de base doit être située dans le plan de symétrie longitudinal de la coque aux distances verticales suivantes :
Au point de référence de la coque comme défini en D.2.3

Explications
Correction de la coquille sur le renvoi au paragraphe 2.3; c’est le 2.4 qui définit le point de référence

Proposition n°5

Proposition annulée suite à l’AG de la classe à Roscoff où le jaugeur Michel Chaffart a indiqué que

Annexe B – Dispositions spécifiques
Section I
I.1 DEROGATIONS
(b) Bateaux dont le poids de coque est supérieur à 52 Kg : les bateaux dont le
poids de coque est supérieur à 52 kg doivent obtenir une dérogation de la
classe (notée sur le certificat de mesurage) et sont alors autorisés à
participer aux épreuves officielles
.

Proposition
6) D.9.3 MASSE DE LA COQUE …
Masse de la coque assemblée (monolithique) : minimum 46 kg
Masse maximum du couvre gueuse 1.5 kg

Texte actuel
D.9.3 MASSE

minimummaximum
Masse de la coque assemblée (monolithique)46 kg52 kg
Masse du couvre gueuse1.5 kg

Explications
Le relevé des fiches de jauge fait par G. Maury en 2014 montre que plus de soixante coques dépassent les 52 kg sur près de 130 bateaux jaugés, et c’est souvent avant la série des 400 mais on trouve des cas même dans les coques récentes en 2014. Le propriétaire actuel du chantier ACB a indiqué que c’est dû à la technique de stratification par imprégnation de la résine dans le tissu de verre par contact, quand la température est plus élevée, la résine polymérise plus vite et on a davantage de résine utilisée.

Proposition n°6

Proposition
E.4.6 ACCASTILLAGE
(a) Obligatoire
(3) Palonnier ou volant de commande.
(b) Optionnel
(1) Le palonnier, normalement à 2 pédales, pourra être modifié pour ne fonctionner qu’avec une seule.
(2) Sont libres : les formes des biellettes, cames, secteurs d’entraînement, volant, et nombre de poulies de renvois des drosses de commande .
(3) Palonnier ou volant de commande ou manche de direction.

Texte actuel
E.4.6 ACCASTILLAGE
OBLIGATOIRE
(3) Pédalier de commande.
OPTIONNEL
(1) Volant de commande.

Explications
Palonnier désigne mieux que pédalier le système de commande aux pieds.
On n’utilise que l’un des deux soit le palonnier soit le volant.
Des personnes n’ayant l’usage que d’un pied ont besoin de pouvoir modifier le système simple de deux pédales pour que le système fonctionne avec une seule.
Le système de commande fourni par le constructeur est perfectible, afin d’assurer une synchronisation régulière entre la commande du volant ou palonnier avec le safran. La timonerie clavetée sur la mèche de safran simple et d’un coût de revient faible doit pouvoir être améliorée par le propriétaire s’il le désire.
Le texte actuel n’indique pas la présence des poulies nécessaires aux renvois d’angles des drosses.
Ouvrir la possibilité d’un simple manche, qu’il soit vertical, horizontal, rétractable, amovible etc… pour les personnes à mobilité réduite et tous ceux que le volant encombre.

Proposition N°7

Proposition
Section D – Coque et Pont
D.1.2 OPTIONNEL
(f) Un ou plusieurs déflecteurs de l’eau courant sur le pont vers le cockpit, pourront être installés en avant du mât, sur le pont. Ils pourront y être installés et fixés d’une manière permanente ou bien occasionnelle, et facilement amovibles. Leurs dimensions devront rester dans les limites suivantes : en hauteur au dessus du pont : un maximum de 100 mm, y compris le rabat l’eau incliné ou horizontal et en largeur leurs extrémités ne devront pas dépasser à l’extérieur du pont.

Texte actuel
Néant

Explications
En mer quand la houle est importante, dans tous les cas au passage trop proche d’un bateau rapide de l’eau va passer au dessus du pont et sauter l’hiloire laissant pénétrer celle-ci dans le cockpit et arrosant le barreur copieusement. Le déflecteur doit permettre d’éviter cela. La hauteur n’est pas fixée car les besoins sont différents en fonction du lieu et chacun doit pouvoir adapter la largeur afin qu’à la gite le déflecteur ne freine pas. Celui-ci peut être percé pour le passage du bout de cunnimgham de foc, passage et/ou ajouré pour permettre le rangement d’un éventuel tangon de foc.

Proposition n°8

Proposition
F.3.3 ACCASTILLAGE
(a) OBLIGATOIRE
(6) une poulie de drisse de GV encastrée ou pas

(7) une poulie de drisse de foc.
(7.1) abrogé.
(b) OPTIONNEL

(1) une poulie de drisse de spinnaker.
(5) Une ou 2 poulies supplémentaires en tête de mât pour assurer que la ralingue ou la drisse circule librement sans raguer.

Texte actuel
F.3.3 ACCASTILLAGE
(a) OBLIGATOIRE
(6) un réa de drisse de GV
(7) un réa de drisse de foc
(7.1) Précision concernant le montage des réas de drisse de GV et de foc : le montage doit être identique à celui qui est utilisé actuellement (2016 / 02) par le constructeur du mât de Mini JI : (AG+ Spars) ; ces réas doivent être d’un type à encastrer : exemple, Selden SP 505 071A ou Z Spars Z 3030 ou Z3032 ou équivalent ; ils doivent être encastrés dans une lumière pratiquée dans le mât et être fixés par 2 vis ou 2 rivets. (Exception: réas de GV montés sur une petite série
de mats livrés par AG+ avec potence de pataras double et réa intégré à la potence)
Remarque: cette règle est rétroactive et s’applique à tous les mâts même anciens : les mâts non conformes doivent être mis en conformité avant le 1er Juillet 2016, pour pouvoir régater après cette date.

(b) OPTIONNEL
(1) un réa de drisse de spinnaker

Explications
Un réa est la partie tournante, avec son axe et son support c’est une poulie.
Il a été fourni par les constructeurs successifs plusieurs types de mât dont certains sont plus courts. d’autres sans poulie encastrée. Dans la totalité des modèles
– soit certains sont trop courts de 5cm voir plus, et il est impossible de monter la têtière de voile jusqu’à la marque de jauge,
– soit au moment de hisser la drisse frotte contre le bord de la lumière dans le mât ou sur le chemin de ralingue,
– et le plus souvent c’est la partie supérieure de la ralingue de GV qui est écrasée contre le chemin de ralingue, s’use, se déchire et bouchonne à la montée ou descente de la voile.
Dans ce dernier cas au championnat de France de La Rochelle un bateau possédait une poulie accrochée à la ferrure de pataras du mât qui permettait à la drisse de tirer sur la planche têtière de GV parallèlement au chemin de ralingue.
Une poulie externe fixée à la ferrure de pataras permet une certaine liberté de rotation de la têtière de GV.
Une réclamation a été portée et le jury a débouté le réclamant mais a demandé que les règles de classe soient clarifiées. L’article 7.1 a été ajouté mais sans qu’il y ait validation par les membres de l’association de classe.

CQFD : Une poulie obligatoire + une ou deux poulies optionnelles.

Proposition n°9

Proposition
D.1 DIFFÉRENTES PARTIES
D.1.1
OBLIGATOIRE …..
(c) Contre moule avec siège intégré ou à partir du N° 600 2 caissons de flottabilité avec cloisons + siège mobile latéralement sans qu’il puise avancer ou reculer.
OPTIONNEL
Pas d’autres trous ou ouvertures permis dans la coque et dans le contre moule ou dans les cloisons excepté :
(f) Dans la coque, pour faciliter la vidange de quille, un perçage vers l’arrière en bas de quille, fileté et équipé de son bouchon démontable avec un outil, permettant la vidange sans dégueuser lorsque le bateau est à sec à terre.

Texte actuel
D.1 DIFFERENTES PARTIES
D.1.1 OBLIGATOIRE
(c) Contre moule ou cloisons + siège fixe (à partir du N° 600)
D.1.2 OPTIONNEL
Pas d’autres trous ou ouvertures permis dans la coque et dans le contre moule ou dans les cloisons excepté :
(f) néant

Explications
Préciser le texte pour la première partie.
Permettre de pouvoir vidanger le cockpit et le puits des gueuses de l’eau qui reste sans retirer les gueuses même si on utilise une pompe de vidange. Sur le 2.4 a été adopté un système facile à réaliser : en bas de la quille on perce sur le bord de fuite un trou, on colle un insert avec trou taraudé de 6 ou de 8 de diamètre. Pour assurer une étanchéité on place dedans une vis M6 ou M8 avec un joint trique ou un peu de ruban de téflon. La tête est à six pans creux afin d’être serrée avec une clé Allen.

https://fr.aliexpress.com/item/1005001622258345.html
https://fr.aliexpress.com/item/1005001644824167.html
https://fr.aliexpress.com/item/33055197591.html
Liens à titre d’information sur des solutions possibles mais non exhaustives.

Proposition N°10

Proposition
Demande d’autorisation de recherche sur un système
Sur la partie aux 3/4 arrière environ de la coque à hauteur du dessus de la coursive du contre moule, l’installation de chaque côté d’un dispositif avec ou sans clapet assurant une fonction de « vide-vite ».

Explications
En ayant un trou dans le tableau arrière l’eau qui séjourne dans la coursive de chaque côté suivant la gîte du fait de celle-ci ne peut s’écouler, le bord du tableau arrière est plus haut que la partie la plus basse de la coursive. Certains ont intégré un tube pour que l’eau aille directement au fond du cockpit où elle peut être refoulée par la pompe de cale (est-ce permis ? ). Et si on trouvait un système pour qu’elle sorte directement

Proposition N°11

Proposition
C.5.2 OPTIONNEL
(a) UTILISABLE EN COURSE….
(2) Un compas magnétique ou digital ou dispositif comportant l’utilisation d’un GPS.

Texte actuel
C.5.2 OPTIONNEL
(a) UTILISABLE EN COURSE
(2) Un compas magnétique ou digital.

Explications
Là les avis vont certainement être partagés.
Les technologies ont évoluées, les téléphones portables ont permis de développer une production de masse et avec elle une baisse importante des coûts.
Il y a 8 ans les règles de classe autorisaient déjà le compas digital, pourtant au départ il avait été autorisé pour une personne à mobilité réduite qui avait du mal à lire un compas magnétique. Le compas digital autorisé certains barreurs ont acheté le « compas tactique » qui en plus de donner le cap du bateau permet de donner la direction de la bissectrice de l’angle formé par les deux caps de remontée au vent au plus près serré. Enorme aide à la navigation : le compas indique les adonnantes et les refusantes et coûtait près de 400 euros, raison pour laquelle tous n’en sont pas équipés.
Aujourd’hui des dispositifs qui fonctionnent avec un un GPS interne existent et sont utilisés dans beaucoup de classes.

Que sont-ils capables de fournir comme aide à la navigation :
– un chronomètre de régate,
– le cap du bateau,
– la vitesse par rapport au fond,
– si on prend le temps de viser la ligne de départ en étant du côté comite puis de viser la ligne en étant du côté viseur en appuyant sur le bouton correspondant alors on a l’affichage de la distance à la ligne à condition d’avoir renseigné la distance entre le GPS et l’avant du bateau,
– la possibilité d’afficher la trace par rapport au fond sur l’écran (et de l’enregistrer) de la route du bateau. Ainsi on peut détecter un courant, avoir une idée de l’influence générale du relief sur le plan d’eau.

Le prix de cela ?
– les premiers sortis il y a quelques années sont seuls sur le marché et en profitent pour faire une bonne marge. Par exemple le GPS ProStart v2 Speedo Compas qui culmine à près de 900 euros.
– si on a un smartphone (étanche ou dans une pochette étanche) aussi bien que Iphone ou Android il y a une application gratuite SalFreeGPS. 0 euro !
En Android les prix ont bien baissé dans une version étanche : https://fr.aliexpress.com/item/4001337916570.html
C’est super ! Mais un écran de smartphone au soleil c’est pas trop visible et où le mettre, va-t-il durer en terme d’autonomie de batterie ?
Et s’il y avait un modèle pas trop cher https://www.nova-sail.com/fr/NS360%20Pocket%20V2.php
Toutes les qualités et le développeur est français installé à Hong Kong. Un peu plus cher qu’un compas tactique mais fixation du le mât, écran LCD.
Alors évidemment quand on a un compas tactique on n’est pas prêt à le mettre au rencard mais si on veut s’équiper prendre un tel appareil n’est pas beaucoup plus cher : il remplace le chrono ( de 40 à 90 euros), le compas tactique : 350 euros sachant que les prix baissent car de moins en moins de candidats à l’achat du compas tactique.

Unanimité des membres sauf de la part de Guy Lassalle qui est contre.

Proposition N°12

Proposition
C.5.2 OPTIONNEL
(a) UTILISABLE EN COURSE….
(6) l’utilisation d’un dispositif comportant un GPS pour l’enregistrement des traces GPS du bateau et dont les données ne seront pas consultables en course (appareil dans une poche ou un sac opaque).

Texte actuel
Néant

Explications
La proposition 11 peut ne pas être retenue lors du vote final. Aussi il faut voir celle-ci au cas où…
L’idée est de ne garder que la possibilité d’enregistrer la trace GPS sans pouvoir consulter les données, juste démarrer l’enregistrement. Un smartphone avec l’application SailFreeGPS suffit mais on peut aussi utiliser un tracker GPS.

Au cours du Championnat à Roscoff quelques concurrents ont lancé l’application RaceQs disponible pour tout type de smartphone et ont glissé celui-ci dans une poche étanche. De retour au port ils ont stoppé l’enregistrement et sauvegardé celui-ci. Tous les enregistrements de la zone sont alors disponibles et on peut analyser ensuite sa course par rapport à celles des autres. La mise en place des marques et de la direction du vent n’est pas réalisable en cours de course mais si l’un des participants le fait tous en bénéficient. Exemple.
Ensuite on peut aussi isoler la partie réelle de la course. Le fichier GPX est exportable mais aussi on peut importer un fichier GPX enregistré par un autre moyen.

Pourquoi garder le fichier de trace GPS ? Pour pouvoir regarder sa course, et analyser celle-ci dans Google Earth mais aussi d’autres lecteurs sur le web et en particulier un qui permet de charger plusieurs fichiers et les lire en même temps si on trouve RaceQs trop compliqué. Ainsi on peut comparer la position des bateaux au fur et à mesure, et déterminer pourquoi l’un est arrivé avant le ou les autres. Le site http://www.mygpsfiles.com/app/.

Côté matériel, il y a plusieurs possibilités : le smartphone dont on se sert, le second choix un smartphone ancien qui fonctionne encore mais a été remplacé par un plus performant, SailFreeGPS fonctionne parfaitement sans carte SIM y a juste que le fond de carte qui sera absent mais comme les données ne doivent pas être utilisées en course, quelle importance ? Après on peut aller sur un modèle qui ne fera que l’enregistrement de la trace : https://www.truffaut.com/enregistreur-donnees-gps-eyenimal-pet-data-recorder-765550.html et vous pourrez vous en servir pour voir où va votre chat la nuit. Si vous voulez bricoler : https://projetsdiy.fr/m5stack-atomic-gps-tracker-tinygps-export-gpx-googlemaps-vscode/ ou http://acymodelisme.fr/?p=655.

Unanimité sauf de la part de Guy Lassalle qui s’abstient.


Propositions de modification
des règles de classe
Avec avis défavorable de la CoTec

Proposition N°13

Proposition
C.5 EQUIPEMENT PORTABLE
C.5.1 OBLIGATOIRE
C 5.1 (b) NON UTILISABLE EN COURSE
(1) Bout de remorquage flottant: longueur minimale 5 m à partir de la cadène, diamètre minimal 6mm.
(2) Une extrémité du bout de remorquage doit être fixée à la cadène d’étai ou sous le mât à tous moments quand le bateau navigue. Si la fixation est sous le mât une garcette munie d’un anneau de friction pour récupérer l’autre extrémité depuis le cockpit.


D.2.3 MODIFICATIONS, MAINTENANCE ET REPARATIONS
(b) Dans le pont, seuls sont autorisés des trous pour le passage des commandes des barbers de foc et du pataras, du bout d’amarrage et pour la trappe étanche de visite de la mèche du gouvernail.

Texte actuel
C.5 EQUIPEMENT PORTABLE
C.5.1 OBLIGATOIRE
C 5.1 (b) NON UTILISABLE EN COURSE
(1) Bout de remorquage flottant: longueur minimale 5 m, diamètre minimal 6mm.
(2) Une extrémité du bout de remorquage doit être fixée à la cadène d’étai à tous moments quand le bateau navigue.

D.2.3MODIFICATIONS, MAINTENANCE ET REPARATIONS
b) Dans le pont, seuls sont autorisés des trous pour le passage des commandes des barber de foc et du pataras et pour la trappe étanche de visite de la mèche du gouvernail.

Explications

L’idée est de soulager les efforts subis par la cadène de foc lors de l’amarrage et le remorquage en ayant l’effort renvoyé sous le pont dans un point de tire réalisé sous le mât. Afin que le bout de remorquage puisse être stocké sous le pont une garcette reliée à l’extrémité du bout par un anneau de friction pour pouvoir récupérer et lancer le bout de remorquage à un bateau d’assistance.

La Cotec a émis un avis défavorable pour plusieurs raisons :
– Modifications touchant à la structure du pont (donc avis de l’architecte nécessaire), tant pour l’insertion du tube que la réalisation du point de tire sous le mât. Celles-ci, si elles ne sont pas réalisées correctement, engageraient la responsabilité de celui qui les effectueraient donc il faudrait qu’elles soient effectuées par un professionnel.
– Le bout tiré par la garcette depuis le cockpit devrait effectuer un demi-tour au niveau de la cadène quand il est extrait de dessous le pont . Si sous le pont un petit chevauchement des boucles se fait naturellement au cours de la navigation à l’entrée du tube, il peut y avoir blocage au moment de l’extraction. Dans chacun des cas il peut y avoir retard ou impossibilité de pouvoir lancer à un bateau d’assistance le bout pour effectuer un remorquage.
– Trou dans le pont pouvant, en cas de plongée dans un vague, amener une entrée d’eau même si elle serait faible.

Demandes faites en cours d’AG

Proposition n° 14

Proposition
Section D – Coque et Pont
D.1.2 OPTIONNEL
(f) Trous à travers l’hiloire afin d’y faire passer les bouts de réglage de la pantoire de GV etdu cunnigham de foc.

Texte actuel
Néant

Explication
Les trous effectués à travers l’hiloire du pont afin de faciliter le passage des bouts de réglage du chariot de GV et du cunningham de foc ont pour objectif de ramener les bouts à l’intérieur du bateau afin d’éviter qu’ils traînent dans l’eau.

Proposition n° 15


Proposition
Abrogation de l’interdiction
.

Texte actuel
C.5.3 INTERDIT
(a) EN COURSE
(1) Une VHF

Explication
L’usage de la VHF est un élément de sécurité.

Proposition n°16

Proposition
A.7 AMENDEMENTS AUX REGLES DE CLASSE
A.7.1 …

Trois semaines environ après l’AG, les amendements sont envoyés aux propriétaires, sociétaires à jour de leur cotisation le jour de l’AG, pour être votés par courriel électronique.
Les propriétaires doivent retourner leur vote au scrutateur désigné par le Conseil d’administration de la classe par courrier électronique ou par courrier postal.

.

Texte actuel
A.7 AMENDEMENTS AUX REGLES DE CLASSE
A.7.1 …

Trois semaines environ après l’AG, les amendements sont envoyés aux
propriétaires, sociétaires à jour de leur cotisation, pour être votés.
Les propriétaires doivent retourner leur vote au Président de la classe par
courrier électronique et le confirmer par courrier postal.

Explication
Après la COVID l’usage du numérique est suffisamment répandu…